MASSACRE (Toulouse) "Massacre", opéra violent et subtil, 3 Octobre 2008 Renaud Machard, Le Monde Il faut connaître Massacre (2003), l'opéra pour cinq chanteurs, neuf instruments et électronique de l'Autrichien Wolfgang Mitterer (né en 1958), également organiste, musicien de jazz et improvisateur. Car cette partition enthousiasmante tranche sarcastiquement sur le cadre suranné du tout-venant de la musique contemporaine européenne. Quand celle-ci sent souvent la mort, du moins le renfermé, l'entêtant tourbillon de l'opéra de Mitterer, tout jonché de cadavres qu'il est (le livret est adapté de Massacre à Paris, de Christopher Marlowe qui relate les tueries de la Saint-Barthelémy) est une est une gifle revigorante, un appel d’air fouettant. Ce n’est pas tous les jours... ![]() Théâtre de la guerre, 28 Septembre 2008 Christian Fruchard, Les Dernières Nouvelles d'Alsace C'était un des événements les plus attendus de Musica 2008. Massacre, opéra de Wolfgang Mitterer sur les déchaînements de la violence guerrière, a visé juste, au cœur et à l'esprit. ![]() Massacre à la Cité de la Musique de Paris, 9 Avril 2010 CC, opera-cake Eh bien, mes amis, Whata night! It is good to break your habits and --from time to time-- dive in the world of contemporary opera: they (a) defy your senses, and (b) help you not to become a routine opera consumer. (…) Lire la critique sur classissima.com On ne sort pas indemne du "Massacre" de Mitterer, 2 Avril 2010 R.M., Midi Libre Lire la critique du Midi Libre Massacre au Grand Théâtre de Reims, 26 F�vrier 2010 Bruno Serrou, anaclase.com Eternité de la Saint-Barthélémy, pour cinq chanteurs… Lire la chronique sur anaclase.com Massacre à Strasbourg, 25 Septembre 2008 David Sanson, Mouvement Ludovic Lagarde revisite un glaçant opéra de Wolfgang Mitterer A Porto, le 20 septembre dernier, était créée une nouvelle production, mise en scène par Ludovic Lagarde, de l’opéra Massacre de Wolfgang Mitterer, d’après une pièce du dramaturge élisabéthain Christopher Marlowe. Présenté ces jours-ci au festival Musica à Strasbourg, puis à Orléans et Saint-Quentin-en-Yvelines, cet ouvrage glaçant et baroque révèle un univers musical bien peu orthodoxe. Lire la critique |